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Sud-Kivu : Cor Akim, Joyeux Bin Kabodjo et Dicoman, ces artistes qui ont marqué les esprits lors du réveillon

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Le jour de réveillon était une occasion en or pour plusieurs artistes de la ville de Bukavu de se retrouver avec leurs mélomanes afin d’attendre l’année 2018 avec pompe. Musiciens, danseurs et humoristes, ont su faire la fête à leur manière.

Difficile d’avoir tous éléments des artistes ciblés par 243stars.com. On se demande si certains ont peut-être assez picolé car disparus des radars de la ville depuis le début de l’année.

A un jour du nouvel, Cor Akim a commencé sa matinée dans la salle de sport au collège Alfajiri jusqu’à 10h. Quoi que l’on croit que les artistes ne sont pas tous chrétiens, le prince Akim a été aperçu chez lui entrain de prier, même si on ignore la nature de ses prières, on imagine qu’elles étaient adressées à Dieu. De 12h à 16Hh30, il en a profité pour rendre visite à ces familiers, question pour lui de finir avec la concorde familiale une année durant laquelle le surnommé « Neymar du Kivu » a eu un agenda surchargé car sollicité dans mille et une activité à la fois.

Juste après, il est parti « la » voir. Ah oui! C’est ça, l’interprète de Tu peux compter sur moi, ne souhaite pas dire plus ou même donner la caricature de cette « la » qu’il est parti voir.

Dans la soirée il a répondu à une invitation chez le baron Mena Kayembe qui organisait une fête avec différents noms de la place. C’est là-bas, à coté des grands noms du business Bukavien que Cor Akim a crié « Bonaaneeeeeee »  afin d’accueillir la nouvelle année qui venait à peine de commencer.

 A 1h30 il est partie dans une boite avec ses amis avant de regagner la maison à 3h30, où contre toute attente, il a une fois de plus prié.

De l’autre côté, le jeune prodige de l’humour Sud-Kivutien,  Joyeux Bin Kabodjo a vécu une fin d’année spéciale et surtout romantique. A 18h05, il fait irruption dans une activité au cours de laquelle une marque d’habillement a été divulguée, sous un œil curieux et stupéfait de Jean-Luc Ramazani, médiateur culturel de la soirée Izulu, animateur de cette activité. Ce qui a marqué les esprits, c’est le fait de voir l’auteur du spectacle Journal intime se faire accompagné d’une « jolie » demoiselle avec un Joyeux tout joyeux et surtout galant, se débarbouillant de toute attitude comique, comme l’illustre cette photo.

Joyeux  Bin Kabodjo et Katia Boji lors de la présentation de la marque, Le seul

Dans un numéro de Tourbillon du savoir datant du mois d’octobre, une émission diffusée sur une radio de place, Joyeux a affirmé être dans une relation libre tout en promettant de changer la donne. Il a peut-être jeté son dévolu sur cette demoiselle dénommée Boji Ketsia vivant à Kigali, mais qui a fait le déplacement pour suivre le récent spectacle Journal intime et en a profité pour passer du temps avec son supposé « petit ami » même si Joyeux Bin Kabodjo demeure discret quant à la nature de leur relation.

Sa soirée s'est  clôturée au collège Alfajiri dans le réveillon de la chorale Jolory (joyeux de l'horizon) où il a offert une prestation d'humour avant de raccompagner la protégée Ketsia chez elle. Joyeux est rentré chez lui prier en famille pour la fameuse prière de 00h.

Le dernier dont nous avons observé le mouvement c’est Dicoman, un renard de surface dans l’Afrobeat. Le dernier jour de l’année a était spécial car il a en a profité pour passer du temps avec ses amis avant de partir travailler en studio pour peaufiner un tube, Fungola Miso, qu’il compte sortir la semaine prochaine en collaboration avec Pizzo Magic et Makadafaka. Juste après il a eu le temps de bavarder avec son manageur et le producteur avec lequel il a travaillé sa prochaine chanson.

Dans l’après-midi l’interprète de Me, a reçu à Nard Hôtel à Nguba certaines personnes venues de l’Uganda pour un entretien relatif à une probable collaboration. Lui, et son équipe sont partis pour un barbecue à Muhumba au domicile de son manageur jusqu’à 22h, moment auquel il est reparti pour patienter et fêter la Bonana avec toute la bénédiction de sa famille.

Voilà comment Dicoman, Joyeux Bin Kabodjo et Cor Akim ont fini l’année 2017 et ont embrassé l’année 2018.

 

 

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