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Cor Akim : je garderai mon calme, les ennemis ça fait partie d’une carrière

Musique, Cor Akim, Bukavu, Emission Cor Akim, Photo crédit: Musaba Proust

On dirait bien que des undergrounds veulent se faire un nom à travers la star Cor Akim. Auteur compositeur, il enchaine hit après hit et qui au jour le jour squattent des places de prédilection et font la une sur différentes chaines de la région.

Notez! Pour s’attirer la courtoisie des certains animateurs véreux, deux artistes ont cité le nom Cor Akim, le hitmaker de Ndowa, une chanson qui fait le buzz et dont le clip est en plein tournage après avoir mobilisé des moyens digne de son rang.

"Parler des autres pour se faire entendre, parce que lorsqu’ils parlent d’eux même personne ne s’intéresse à eux", c’est du moins la phrase qui résume éperdument cette regrettable situation qui implique des ex poulains de l’artiste. Un analyste penserait à l’ingratitude de Héritier Watanabe à Werrason et à la maison mère.

En effet, depuis la nuit des temps, le Prince Akim est quelqu’un de confiant, rares sont le instants que vous le retrouverez en palabre autours de sujets sans égard. En dépit de cela, l’artiste entretient des relations tranquilles avec plus d’une personne qui souhaite entrer en contact avec lui ou même le côtoyer d’une façon bien particulière. Nombreux sont les artistes que lui en tant qu’acteur du même secteur a pu venir en aide.

Dans des spectacles et productions, il est maintes fois intervenu en faisant fi de l’aspect pécuniaire, prêtant soit sa voix dans l’accompagnement musical, soit ses deux mains dans le maniement hors de pair du piano et parfois les deux à la fois. Une attitude dont révèrerait n’importe quel commun de mortel.

Dans une réaction lors d’une interview exclusive nous accordé, Cor Akim n’a pas voulu réagir au fait que son nom soit cité dans cette chanson ou même du fait une autre personne ait mal interprété ses propos en rédigeant un article dénudé de toute véracité logique.

Voulant en savoir plus, nous avions boosté d’efforts jusqu’à arracher quelques mots à l’auteur compositeur et interprète de Tu peux compter sur moi.

« Aujourd’hui je suis victime d’injures des jeunes que j’ai aidé, des jeunes avec lesquels j’ai partagé de bons moments. Ça ne m’étonne pas, les hommes sont ingrats. Dans les émissions musicales je les entends m’injurier, je sais qu’ils cherchent à attirer mon attention. Dans la vie j’ai connu pire que des ennemis qui ont peur de me parler en face et j’ai toujours su garder mon calme et ma bravoure. Cela ne peut en aucun cas être une barrière, je veux continuer  à avancer dans l’objectif d’apporter un plus à la musique de chez moi. Je garderai sagement mon silence » a-t-fait savoir tout confiant de lui-même.

Cor Akimm

« Je n’ai jamais  répondu avec colère dans l’émission dans laquelle j’étais invité. Ceux qui me connaissent savent que la colère n’est pas ma faiblesse, je sais toujours garder mon calme. Je ne peux dire qu’ils ne réussiront jamais, je ne souhaite malheur à ceux-là qui me souhaitent. Au contraire je les encouragerais et je continuerai toujours à les encourager. En bref, je suis un humain avec des faiblesses, mais moi je m’occupe de ma musique et mes objectifs, je ne passe pas le temps à fouiller dans la vie des gens, encore moins à injurier mes ainés » a-t-il renchéri avant de rajouter « Je n’ai pas appris à être impoli ».

On dirait que l’objectif des auteurs compositeurs de ladite chanson a échoué. Tenez! Plus d’une semaine après la mise en ligne de celle-ci a atteint à peine seulement 49 téléchargements, on dirait que seulement les membres de leur famille ont eu le temps de le télécharger.

Plus d’un observateur se demanderait si c’est de cette façon, en véhiculant des diffamations contre d’autres artistes dans le simple but d’espérer vouloir faire du buzz dans la ville que la musique de Bukavu que va évoluer cet art. Quelqu’un se demanderait une fois de plus comment se sentent-ils au moment où leur lutte s’est avérée vaine et que le public Bukavien ne s’est pas montré enthousiasmé face à cela.

A Cor Akim, le Prince Akim de conclure sous un ton comique : « Muna ni fwatiyaka nini, mbona sikuwake na problème na mutu ? ».

Ceux qui sont censés répondre à cette question se reconnaissent sans doute parfaitement bien.

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